Piégée en selfbondage à cause de la grève SNCF j’ai fait une rencontre BDSM

Catégories : Femmes soumises SM camisole Selfbondage auto bondage
il y a 6 ans

J'aime bien l'auto bondage, la self servitude et le plaisir sous la contrainte.

Mon colocataire était parti voir ses parents à Paris. A cause des premières chaleurs, je me promenais nue dans l’appartement après avoir pris ma douche. Je joue parfois avec le jet de la douche orienté sur mon petit bouton magique. Comme il avait pris la sienne avant de partir, je n’ai pas pu aller au bout de mes envies, l’eau froide à cet endroit si sensible de mon anatomie aurait tendance à refroidir mes ardeurs coquines.

Vautrée dans le canapé, l’envie de surfer sur Fessestivites, mon site préféré parce qu’il y a vraiment de tout comme histoires érotiques et vidéos, je me suis à nouveau enflammée les sens. Une vidéo de selfbondage m’avait donné des idées très perverses de bondage et de soumission puis de sexe. Ma caisse à jouets n’est pas très grande mais contient déjà de quoi faire pour satisfaire mes envies coquines.

J’ai donc sorti un collier qui se cadenasse, des menottes, des cordes de shibari et un magic wand massager, ce truc torride en forme de micro qui me conduit au plaisir à chaque fois. Je l’ai trouvé sur ABCplaisir, je vous le recommande les filles si vous aimez jouir à chaque fois. je m’égare, pardon.

Mon plan était simple, me faire jouir plus que de raison. Le problème est qu’après avoir joui, j’ai du mal à continuer si je suis seule, si l’on ne m’oblige pas un peu. Donc mon idée était de le coincer comme il faut dans ma culotte avec des cordes de shibari puis de m’attacher pour m’obliger à jouir x et x fois avant de pouvoir me libérer. J’ai donc commencé par mettre le collier qui se cadenasse, dès qu’il est autour de mon cou, des fourmis s’animent en bas.... L’étape suivante consistait à bloquer le vibromasseur magic dans ma culotte avec une des cordes de shibari. Finalement, il m’a fallu deux cordes pour y parvenir correctement, je voulais être sûre qu’il resterait en bonne place.

Pour me libérer, je voulais m’imposer de ramper jusqu’aux clés des menottes abandonnées dans l’entrée. Et pour éviter le problème du fil du magic qui de débranche, j’ai ajouté deux rallonges, celle de ma chambre et celle de la télé. (Je fais des noeuds quand je les branche, ça tiens bien quand on tire) J’étais déjà super allumée et j’avais chaud. C’est donc dans cette tenue bizarre que je me suis descendue une bière.

L’étape d’après de mon selfbondage consistait à lier mes chevilles puis mes cuisses serrées. Ma gourmandise m’a poussée, promis c’est sa faute pas la mienne, à insérer un plug dans mon chaton histoire de compléter mon film de pauvre fille martyrisée par un sadique assoiffé de sexe. J’ai un peu bataillé car les cordes du bas me gênaient mais j’y suis parvenue quand même. Lorsque je me suis assise, j’étais en nage et le plug... hummm. Une deuxième bière bien fraîche s’imposait et, quitte à faire des folies, pourquoi les faire qu’à moitié ?

Tout en la buvant, j’ai lié mes chevilles et mes cuisses serrées, un peu trop mais ça, je l’ai constaté plus tard. J’ai jeté les clés dans l’entrée de l’appartement, puis je me suis allongée sur le sol recouvert d’une serviette pour finaliser mon selfbondage. La dernière des cordes m’a permise de relier mes chevilles à mon collier, et de m’obliger à me cambrer un peu. Avant la phase finale, le magic wand massager mis en route, mes mains encore libres, les coquines....., ont titillé mes tétons. Ces garces ont mis le feu au poudre de ma libido. Verrouiller mes poignets dans les menottes accrochées sur le devant de mon collier devenait urgent ! ! !

Une fois menottées, j’étais livrée pieds et poings liés à mes fantasmes, mes folies secrètes et inavouables puis, au magic imperturbable vibrant sur mon clitoris. La vague de plaisir pointa son nez sans tarder, et là je me suis dit ma belle, tu vas jouir un max avant de te libérer. Elle montait irrémédiablement en moi. Je la sentais venir et j’ai fermé les yeux en me contractant dans sa dernière ligne droite comme si je voulais résister à un assaillant pervers.

Quand j’ai implosé pour la première fois, c’était torride, puissant, énorme, gigantesque, les mots me manquent pour décrire ce plaisir sous la contrainte. J’ai entendu un bruit, sur le coup, j’ai cru que j’avais fait tomber quelque chose en me débattant. Les yeux fermés, toute mon attention était portée sur le contenu de ma culotte et le magic intrépide ne m’accordant aucune pause. Là, c’est quand même assez dur quelques secondes car c’est vraiment très « hot ».

Ce n’est pas un bruit qui a attiré mon attention une seconde fois, mais une voix ! Lorsque j’ai ouvert les yeux, il y avait des pieds devant moi. Quatre pour être précise et la voix, c’était celle de mon colocataire affolé. Il n’arrêtait pas de dire « qu’est-ce qu’il t’est arrivée, qu’est-ce qu’on t’a fait, je vais t’aider et appeler la police, je .... ».

Mon premier réflexe a été de lui dire « non n’appelle pas la police » le deuxième fut « qu’est-ce que tu fous là » avant de me liquéfier de honte. Il ne se calmait pas, l’inconnu l’a arrêté.

  • Non laisse-la tranquille, il ne lui est rien arrivé, calme-toi, je vais t’expliquer.

  • Tu es sûr, on ne la libère pas et on n’appelle pas la police ?

  • Oh non, surtout pas sauf si tu veux qu’elle de haïsse jusqu’à la fin de sa vie.

  • Désolé Eric mais je ne comprends pas !

  • Sers nous l’apéro, je vais t’expliquer. Tu vois à la façon dont sont liées les cordes de ses chevilles et de ses cuisses ?

  • Oui et bien quoi ?

  • C’est du shibari et soit elle s’est attachée seule soit un Maître l’a laissée comme ça histoire de la faire jouir. D’ailleurs tu vois les fils qui électriques, je pense qu’il sont reliés à un truc qui vibre entre ses jambes ou dans sa chatte.

  • Je ne comprends plus rien. Tu peux parler Français ?

  • Attend laisse-moi regarder d’un peu plus près. Oh, regarde, il y a des clés contre le mur là-bas. Elle a prévu de ramper jusqu’à elles pour se libérer ou c’est un Maître qui les a déposées là avant de partir.

Ma rage a très largement dépassé ma honte, je les ai incendiés puissance dix. Je leur ai ordonnés de me donner les clés et de me foutre la paix puis d’aller faire un tour ailleurs.

  • Désolé de te contrarier, mais la soumise qui est à mes pieds n’est pas vraiment en position pour me parler sur ce ton. D’ailleurs elle mériterait que je lui donne une fessée ou que je rajoute une corde à son délire avant que nous prenions l’apéro ! M’a répondu l’inconnu avant de redemander à boire à mon colocataire complètement décontenancé.

  • Je ne suis pas soumise, foutez-moi la paix !

  • C’est bien ce que je disais, tu t’es amusée toute seule coquine en fantasmant sur le fait d’être soumise ! D’ailleurs on va regarder ce que tu caches entre tes jambes !

  • NON arrête tes conneries ! A crié Paul, mon colocataire.

  • OK ! On ne l’ennuie plus et on la laisse faire son délire qui pourtant ressemble à celui d’une fille en manque de BDSM.

Je les ai traités d’enfoirés et leur ai donner l’ordre de me libérer mais ils ne m’ont pas écoutée. Mon coloc a commencé à se marrer, il riait comme un gros porc et moi j’avais l’air d’une conne. En plus, il y avait toujours ce putain de magic qui vibrait contre mon chaton et commençait à me faire mal quand la situation a continué à se dégrader pour ma fierté et mes petits secrets.

  • Paul, regarde, elle surfait sur Fessestivites, c’est un site de rencontres BDSM ! Bonjour Mademoiselle, je me présente. Je suis Maître Eric69, ravi de faire votre connaissance. Et vous c’est quoi votre pseudo sur le site ?

Toujours folle de rage je lui ai proposé d’aller faire voir son popotin chez les Grecs si vous voyez ce que je veux dire..... Il n’a pas aimé du tout, mais alors pas du tout ! Il a sorti son téléphone mobile et a commencé à faire des photos de mois en disant qu’il allait faire un post trop génial sur les forums. J’ai craqué et me suis mise à pleurer, il a immédiatement changé d’attitude. Il a attrapé les clés de mes menottes et s’est assis par terre contre moi pour me libérer des menottes et a débranché le fil du magic avant de me prendre dans ses bras.

Il m’a aidée à m’asseoir puis serrée contre lui en me disant de me calmer, que les photos ne seraient jamais publiées. Tout en me berçant comme si j’étais un bébé, il m’a expliquée qu’un Maître respecte l’anonymat des soumises, que jamais il ne publierait quoi que ce soit. Dans ses bras câlins, j’ai commencé à me reprendre, à arrêter de pleurer.

J’étais bien. Pourquoi je ne sais pas, mais ses bras devenaient rassurants car il était très câlin, presque un Daddy consolateur. Tout en me berçant, d’une main il a entrepris de défaire les cordes de shibari de mes cuisses puis de mes pieds. Lovée contre sa poitrine, je trouvais un peu de réconfort malgré la honte et la gigantesque peur que je venais d’avoir. Il n’a eu aucun geste déplacé, bien au contraire, il a même demandé à mon coloc de nous laisser quelques minutes pour retirer le reste, à savoir, le shibari maintenant le magic et le plug.

Une fois que j’ai été libérée de tout, il m’a prise dans ses bras pour me porter sur le canapé où il m’a recouverte de sa veste comme si j’avais froid. Lovée dans les bras de mon sauveur, je n’osais plus bouger. J’étais comme sans volonté, incapable de faire autre chose que ce qu’il voulait.

Sa voix !

Sa voix était posée, rassurante tout autant que ses bras m’enserrant contre lui. Il a appelé Paul, mon coloc puis lui a proposé de commander des pizzas avec sa carte bleue puis de nous servir un apéro. J’ai demandé à mon coloc pourquoi il n’était pas parti chez ses parents comme prévu.

  • A cause des grèves, la SNCF a annulé mon train. Je faisais la queue pour me faire rembourser quand j’ai rencontré mon ancien prof de Math. Comme il ne savait pas où aller jusqu’à demain, je lui ai proposé de l’héberger. M’a répondue mon coloc.

  • Et moi, pour une fois, je ne regrette pas que la SNCF fasse grève, j’ai pu rencontrer une coquine à qui je dois quand même une fessée pour m’avoir insulté. A dit Eric. Avant d’ajouter, c’est le minimum syndical qu’elle me doit !

.....................

Épilogue

Lorsque Paul est allé chercher les pizzas, Maître Eric69 m’a donnée ma première fessée. Il a été très gentil, cette fois là, car depuis, comme je suis devenue sa soumise, elles sont parfois beaucoup plus sévères.

Finalement les grèves de la SNCF ont du bon, grâce à elles, j’ai rencontré mon Maître qui était également sur Fessestivites, mais ça, je ne l’ai su qu’après.

NOTE DE L’AUTEUR

J’ai eu une petite envie de surfer, non pas sur Fessestivites mais sur l’actualité.

J’en profite pour donner un truc aux grévistes de la SNCF.

Au lieu de pénaliser des millions de voyageurs et de familles, montez dans les trains et empêchez les contrôleurs de verbaliser les voyageurs sans billet. Faites courir le bruit qu’il n’y a plus de contrôle, les voyageurs vont vous adorer contrairement à la SNCF qui sera beaucoup plus à l’écoute de vos revendications.....

Info gréve SNCF c'est pratique

Info retard SNCF c'est aussi pratique puisque c'est un pléonasme

TSM

Un site français dédié au selfbondage

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